Peux-tu nous dire quand et pour quelles raisons tu as commencé à jouer au baseball ?

J’ai commencé le baseball car je cherchais un sport collectif, mon voisin m’a proposé de l’accompagner à un entraînement de baseball et depuis je n’ai jamais arrêté.

L’année 2020 correspond à ma vingtième année de baseball.

Peux-tu nous résumer ton parcours ?

J’ai commencé aux Twins de Chaumont en 2000.

L’année suivante j’ai fait ma première année au pôle de Rouen.

J’ai eu la chance de participer au championnat d’Europe Cadet 2002 et championnat d’Europe Softball junior 2004.

J’ai ensuite continué le baseball avec Fénay en Bourgogne puis en 2010 j’ai rejoint Metz avec qui j’ai joué en D1 cette saison.

Jusqu’en 2019 j’occupais principalement des postes en infield.

J’ai pu prendre mes marques en champ extérieur cette saison.

Pourquoi avoir rejoint le club des Cougars de Montigny Le Bretonneux ? Qu’est-ce que tu espères trouver ?

Lors d’un tournoi cet été, on m’a dit qu’une place d’outfielder était à pourvoir chez les Cougars.

Bien que je sois un membre investi (comme joueur et comme bénévole) du club de Metz depuis 9 ans, les objectifs sportifs de Montigny m’ont attiré.

J’aime les challenges et j’ai hâte de jouer avec une équipe compétitive comme celle-ci.

Que souhaites-tu apporter à l’équipe et au club ?

Je veux leur faire profiter de mon expérience, de ma passion et de ma motivation.

 On dit souvent que je suis un chien fou sur un terrain.

Je vais faire de mon mieux pour qu’on aille très haut avec cette équipe.

Quels sont tes objectifs personnels pour la saison à venir ?

J’espère monter encore mon niveau de jeu cette saison et prouver que le staff a bien fait de me faire confiance.  Go Cougars !!

Président un avis sur ce recrutement ?

C’est une très belle recrue française, que l’on doit principalement à une personne proche de Montigny qui œuvre beaucoup pour nous et que je souhaite remercier. On espère que Victorien fera encore mieux cette année.

Nous avons comme vous le savez à cœur, malgré les nouveaux règlements fédéraux de ne pas perdre pied sur la formation française et l’arrivée de Victorien se place tout à fait dans ce cadre.